CHEMINS
1848-1849 : nomination d’un cantonnier-piqueur au salaire de 400,00 francs, fourniture des outils et entretien de ceux-ci à ses frais. Son travail consiste à curer les fossés et gondoles de sorties d’eau, réparer et boucher les trous. Par délibération du 11 novembre 1849, le cantonnier-piqueur a pour mission de constater toutes les empiétement du domaine public par les riverains ou autres, de constater le défaut de conformité des procès-verbaux au regard de la loi, d’assister tous les voyageurs qui auraient besoin de son « ministère », de surveiller toutes les voies de fait sous le rapport chasse et pêche conformément aux lois et règlements en vigueur. Cinq candidats se présentent au poste, nomination de Monsieur Inbert.
1855 : suivant les vœux de l’Empereur Napoléon III, 600,00 francs seront affectés aux chemins.
1909 : le cantonnier-piqueur est nommé pour la surveillance et l’entretien des chemins vicinaux.