MAISON DU PEUPLE

1930 : construction projetée dans les plus brefs délais sur le jardin communal attenant à l’ancien presbytère et acquisition de deux remises attenantes. Devis de 275 000,00 francs. Par ailleurs, achat de la propriété attenante au foyer (15 ares pour en faire un « champ de sport »). 1933 : achèvement de l’immeuble avec deux propositions de désignation : le Foyer des Campagnes ou Maison du Peuple. La Préfecture tranche pour la deuxième (...)
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MAISON D’ECOLE-MAIRIE

1855 : le Conseil municipal décide la reconstruction de l’école-mairie. Le devis s’élève à hauteur de 3 000,00 francs. Les travaux doivent être faits dans les six mois au même emplacement. 1859 : additif au projet de reconstruction avec plus cinq mètres au Nord et plus trois mètres à l’Est. Acquisition de 14 mètres de terrain au Sud pour la cour et 6 mètres pour la rue de derrière. 1860 : construction d’un étage supplémentaire pour un dortoir avec symétrie des fenêtres. Pour la première fois, il y a vote (...)
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CHEMINS

1848-1849 : nomination d’un cantonnier-piqueur au salaire de 400,00 francs, fourniture des outils et entretien de ceux-ci à ses frais. Son travail consiste à curer les fossés et gondoles de sorties d’eau, réparer et boucher les trous. Par délibération du 11 novembre 1849, le cantonnier-piqueur a pour mission de constater toutes les empiétement du domaine public par les riverains ou autres, de constater le défaut de conformité des procès-verbaux au regard de la loi, d’assister tous les voyageurs qui (...)
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GARDE-CHAMPETRE

1919 : suivant une circulaire préfectorale sur l’organisation de la police dans les campagnes, nomination dans la commune d’un garde champêtre qui a pour rôle le « maintien de l’ordre, la surveillance continuelle des propriétés avec des tournées dans les hameaux, même la nuit, la distribution des avis et convocations ».
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ELECTRIFICATION

1928 : projet étudié pour l’électrification de la commune. 1930 : le quote-part de la commune s’élève à 316 000,00 francs.
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EAU

10 juin 1855 : à propos de la fontaine du bourg, « passant outre au juge de paix de Saint-Amant-Roche-Savine, l’échange entre la fontaine du sieur Combrias, sacristain, contre une partie du Sagnis (114 ares), la commune n’ayant ni eau potable, ni une réserve incendie . 1856 : canalisation en pierre brute de 230 mètres. 1890-1891 : réparations urgentes aux trois fontaines du bourg (devis de 725,89 francs). 1903 : eau insuffisante pour 80 ménages soit environ 300 habitants. Poursuite des (...)
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LA POSTE

1866 : demande d’un emploi d’un facteur boîtier afin de « recevoir les dépêches et les distribuer immédiatement pour les habitants qui voyagent dans la France pour les commerces de chiffons et de la toile ». 1883 : projet de suppression du courrier de Cunlhat. Ambert est remplacé par Saint-Amant-Roche-Savine avec un courrier en voiture. 1888 : acceptation du projet de courrier Saint-Germain-l’Herm/Vertolaye. Demande de création d’un bureau télégraphique qui sera effectif en 1889. 1889 : (...)
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PONT-DE-DAVID

1894 : réfection du pont en bois réclamée par trois communes (Bertignat, La Chapelle-Agnon, Marat). 1895 : la création d’un pont en maçonnerie à trois arches est décidée, 21 mètres en avant de celui existant. Dépenses estimées à 25 879,60 francs. 1896 : adjudication en cours. La même année, pont livré à la circulation. Par ailleurs, demande de création d’une halte au P.L.M. 1903 : nouvelle demande avec délivrance de billets de chemins de fer P.L.M. 15 janvier 1904 : rejet par le ministre des Travaux (...)
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PRESBYTERE

1864 : par suite d’occupation par le I.C. 65 du terrain et celui-ci tombant en ruine, création d’un nouveau presbytère envisagé. 1893 : le Conseil municipal vote une subvention pour les réparations, la Fabrique ne pouvant y subvenir, étant même en déficit. La même année, legs du sieur Claustre pour le presbytère (testament en date du 4 janvier 1892). 1895 : réparations envisagées sur le presbytère, la commune en étant propriétaire depuis le 1er janvier. 1896 : achat d’un bâtiment à proximité de (...)
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CIMETIERE

27 janvier 1861 : « Vu que le cimetière partie Sud de l’Eglise se trouve au centre du bourg est insalubre, et qu’un lieu de repos soit converti en vue et place publique, demande son transfert hors du bourg dans un délai très bref ». 1864 : projet du nouveau cimetière est approuvé. Le prix des concessions et la vente du Sagnis sont rejetés. Adoption d’une imposition extraordinaire remboursée en 1865. 1865 : le Conseil municipal passe outre les réclamations et maintient le transfert. 1867 : le (...)
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